Les Indes Galantes de Clément Cogitore (France – 2017 – couleur – 5min26)
Matti Ke Lal, fils de la terre d’Elisabeth Leuvrey (France – 1998 – N&B – 18min22 – VOSTF)
Allonge ta foulée ! de Brahim Fritah (France – 2017 – couleur – 16 min – VF)
Beach Flags de Sarah Saidan (France – 2014 – couleur – 13min39 – VOSTF)
Les Baleines ne savent pas nager de Matthieu Ruyssen (France – 2020 – couleur – 21min56 – VF)
Orgesticulanismus de Mathieu Labaye (Belgique – 2008 – couleur – 9min29 – VF)
Cet ensemble, qui réunit documentaires, films de fiction et d’animation, s’articule autour d’un axe commun : le sport envisagé comme un moyen d’affirmer son identité et de se dépasser.
Ressources pédagogiques
Il n’est pas anodin que la plupart de ces titres mettent en scène de jeunes personnages en formation : le sport n’est pas envisagé sous l’angle de la performance mais plutôt de celui de l’affirmation de soi ainsi que du lien que l’on tisse avec une communauté.
Texte de Josué Morel
POUR ALLER PLUS LOIN :
RETROUVEZ LE DOSSIER SPÉCIAL UPOPI#47 SPORT ET CINÉMA CONÇU PAR CICLIC CENTRE-VAL DE LOIRE ET L’UNIVERSITÉ POPULAIRE DES IMAGES
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